1

Est-ce Dieu qui l’a voulu ainsi

La guerre jalouse et sans merci

A emporté mon bien-aimé loin de là

Loin, où maintenant, je ne peux être là

J’aurais voulu être sur le champ de bataille

Tout près de lui avant qu’il s’en aille

J’aurais voulu embrasser son dernier regard

N’est-ce pas une illusion, ce faux départ ?

Refrain

Il n’était pas riche

Mais son courage n’avait pas de prix

Il n’avait pas de château

Mais sans lui le monde n’est plus beau

Jérusalem, Pleure ton soldat

Jérusalem, Pleure ton guerrier

La bravoure et l’honneur furent dans ses bras

Mon cavalier s’en va, saurais-je l’oublier

Jérusalem, Pleure ton soldat

Jérusalem, Pleure ton guerrier

Urie ! Urie !

Ma couronne est partie.

2

Combien d’années me faudra-t-il

Pour oublier son doux sourire

C’est comme l’été qui part en exil

Comme un hiver qui refuse de partir

Oh Dieu des cieux, Dieu de l’éternité

Je n’aurais qu’une question à te poser

Si tu n’existes pas sans ton Esprit

Comment pourrais-je vivre, vivre sans lui

Pont

Connaissez-vous un homme que même le danger a peur d’affronter

Un homme devant qui, la faim et le froid ne peuvent que reculer

Le courage fut son bouclier

Il faisait de la peur son marchepied

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Parole et musique : Amos César

Interprète : Nehemie Bastien